Le roitelet huppé

Vous l’ignorez peut-être mais le plus petit oiseau d’Europe est bien présent dans le Luchonnais.

Un pendentif givré

Les températures négatives ont figé la nature donnant l’impression que tout se soit arrêté. Cette brindille d’herbe s’est transformée dans mon imaginaire en un collier composé en son centre d’un pendentif argenté.

Le réveil du pic du Sacroux (2676m)

Cette couleur orangée, ces nuages d’évaporation et ce blanc auront suffi à créer la magie de l’imprévu. Assise dans mon affût à l’attente d’un pic vert, je remarque la légère danse des nuages effleurant le feu glacial du sommet. Ce matin-là, la nature ne m’aura pas offerte le pic vert mais la chorégraphie du Sacroux.

Le cincle plongeur

Allez-vous vous balader au lac de Badech ? (Bagnères-de-Luchon) Ouvrez les yeux, un oiseau de plumage marron avec un grand plastron blanc est un habitué des lieux. Il apprécie également les rivières où vous le verrez raser l’eau en plein vol. Le cincle plongeur est un plongeur hors pair qui ne laisse guère beaucoup de chance à ses proies aquatiques.

Allongée au bord de la rivière, j’attends patiemment la venue du cincle qui niche non loin d’où je me suis installée. Ces quelques matinées d’affûts étaient dynamiques de par le mouvement et le bruit omniprésent de l’eau et de la venue d’autres espèces d’oiseaux comme par exemple la bergeronnette des ruisseaux.

Se mettre au rythme de la nature et des habitudes des oiseaux est la meilleure des manières de pouvoir observer leurs comportements.

La majesté du petit monde

La majesté n’est autre que du coral carpet. Ce végétal fait partie du petit monde puisqu’il ne dépasse pas les deux centimètres de hauteur. J’ai tout de suite été attirée par sa forme, ses couleurs et sa verticalité. Les couleurs vives de son environnement apportent un élan de fraîcheur à ce petit monde insoupçonné pour la plupart d’entre nous.  

Une détente orchidienne

Elle était posée sur un banc de l’allée des bains… Le rose de la fleur d’orchidée contrastait avec la couleur sombre du banc. Elle était belle et idéale pour devenir un de mes sujets photographiques. Le soir-même, je la plaçai sur les branches d’un sapin. Après une nuit glaciale, la gelée blanche s’était transformée en gouttelettes d’eau embellissant la couleur de l’orchidée.

L’hibou moyen duc

L’hibou moyen duc est le tout premier rapace nocturne que j’observe.

Vidéo :

La pupille de l’amarayllis

Un parmi tant d’autres a bien voulu être mon modèle. Effectivement, il est resté posé sur cette fougère pendant près de trente minutes. J’ai donc pu le prendre sous plusieurs angles tout en me laissant m’approcher de lui. 

Anecdote d’une séance photographique au papillon (Polygonia c-album) le robert le diable Le robert le diable ne s’est plus laissé photographier puisqu’il a déposé ses six pattes sur ma casquette. Finalement, j’ai pu réaliser un selfie en sa compagnie.

L’abeille

Un projet à venir 🙂

Un écureuil roux de l’année

Comment identifier un jeune écureuil d’un adulte ?

Le contre jour met bien en évidence la zone à observer chez le rongeur. Que remarquez-vous sur son oreille ? Elle est tout simplement dépourvue de jolis et longs pinceaux de poils. Effectivement, les juvéniles de l’année ont cette caractéristique visible par rapport aux adultes. D’ailleurs, derrière cette photographie se cache la course poursuite de deux jeunes écureuils roux à travers les arbres de la forêt.

La reine de la forêt

Le brame ne serait rien sans les biches. Si le cerf est le roi de la forêt alors la biche en est la reine. La femelle est la chef de la famille (composition sociale matriarcale), c’est-à-dire qu’elle est accompagnée de son faon de l’année et du jeune de l’année précédente. Habituellement, elle est la première a arrivé sur la place de brame accompagnée de sa descendance avant d’être rejoint par le ou les mâles.

Surimi, la belle main coon

Surimi est un main coon que j’ai gardé alors je me suis dit : pourquoi ne pas le photographier ?

La bruyère stalactilisée

L’eau fait encore parlée de ses talents d’artiste.